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No Thing

29 juillet 2007

I'm sinnnngin' in the rain...

C'est pas que j'aime cette chanson, non non non... :gla:

Mais... blush

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31 mai 2007

J'ai, j'ai bien le droit...

Parce-que tu m'as forcée à faire un article, et que je n'avais pas super envie de mettre vidéo de Dalida, voilà... Un clip qu'il est beau pour une chanson qu'elle est à nous...

25 mai 2007

Cosmétique de l'ennemi

26_09AM

C'est en terminale que j'ai découvert Amélie Nothomb, en empruntant Métaphysique des tubes... je ne connaissais pas du tout l'auteur et j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'oeuvre. Finallement, il reste un de mes préférés. Suite à cette lecture, j'ai emprunté tout le stock de la médiathèque, envoyant ma mère à ma place alors que la grippe me clouait au lit... il me reste d'ailleurs toujours cette image, dans mon lit, Absolution de Muse dans les oreilles, et Mercure dans les mains.
J'ai finalement presque tout lu, ce qui n'a rien de compliqué, vu la taille des livres. Il y en a quelques uns que je trouve chiants, complaisants... la plupart que j'apprécie, d'autre que j'aime beaucoup. J'ai récemment relu Cosmétique de l'ennemi, dont je ne me souvenais plus du tout, j'avais enchainé beaucoup trop vite à l'époque, et j'ai beaucoup aimé, cette histoire quin en rappelle d'autres et qui ici, est vraiment bien menée.
Il me reste juste à lire Journal d'hirondelle, comme ça pour voir, ça ne m'attire pas énormément.
Il manque quelque chose dans la plupart de ses livres, comme si c'était bâclé. Elle applique toujours les mêmes modèles, les mêmes figures qu'elle traite de la même manière, et ça n'a plus rien d'original.
Mais je pense que je continuerai à lire ce qu'elle écrit, parce-que c'est facile, divertissant, et qu'on peut tomber sur de bonnes surprises.


Feist - My moon my man

6 mars 2007

Triangulées Bermudes...

Journal

C'est l'histoire d'une petite blanche née pauvre parmi les pauvres. Misty Marie Kleinman.  Elle vit dans une caravane, dessine naïvement le monde de ses rêves, une petite île en forme de squelette de poisson. Plus tard, elle abandonnera ses études d'art plastique pour se marier à Peter, le garçon bizarre aux longs cheveux gras, que toutes ses amies lui disent de fuir. Et elle vit dans une grande maison en pierre, dont elle a imaginé chaque recoin, sur une l'île dont Peter Wilmot est originaire. Waytansea Island, une île en forme de squelette de poisson...

Mais au fur et à mesure que les riches continentaux envahissent l'île, la richesse dont jouissait la famille de Peter s'amenuise, Misty se retrouve serveuse à l'hôtel de l'île, elle n'a pas touché un fusain depuis la naissance de tabbi, la fille dont elle ne voulait pas. Peter a fait une tentative de suicide foireuse (Plus assez d'essence dans la voiture...) et se retrouve dans un coma dépassé, plus du tout vivant mais pas assez mort. Avant ça, il a pris soin de sceller des pièces dans les résidences secondaires de ces riches continentaux, ceux-là même qui envahissaient l'île. A l'intérieur des pièces scellées, des messages haineux, sans queue ni tête, menaçant les habitants, à coups de "nous tueront tous les enfants de Dieu pour sauver les nôtres"

Personne ne semble porter d'attention au suicide de Peter, tous veulent juste que Misty peigne à nouveau. Elle deviendrait, c'est certain, une artiste célèbre, à l'image de Constance Burton et Maura Kincaid, les deux peintres de l'île. Tout ça, c'est un peu ce que Misty raconte dans son journal, qui s'adresse à Peter, au cas où il se réveillerait, qu'il puisse rattraper ce qu'il a manqué, à la façon des femmes de marin qui tenaient un journal pour leur marins de maris, quand ils étaient au large.

Au début, on pense à Choke, ou à Survivant. on se dit que la formule commence à s'user, même si ça reste agréable. Mais ces à priori sont balayés rapidement, sans qu'on s'en aperçoive, et on plonge dans le roman. Des phrases courtes, psalmodiées, répétées tout au long de l'histoire.
Mais Misty a quelque chose, de moins corrosif, de plus humanisant peut-être que les personnages des romans précédents. C'est une spirale, les yeux ne vont pas assez vite, on a envie de le dévorer, de noter certains passages, pour ne pas oublier, on participe à l'action, on sent l'air salin, le soleil de la côte... et on en redemande. même quand on a finit, depuis quelques jours, l'histoire est toujours là, qui nous hante avec des détails inexpliqués.


Shirley Bassey & Away team - Where do I begin

28 février 2007

This is not an exit.

Lunar_Park_by_frescendine

Les yeux qui font mal quand on les ferme, encore pire quand on les laisse ouvert, ou le contraire. C'était même pas à cause de larmes. J'ai arrêté de pleurer pour autre chose que des futilités. Ni même pour abus de quoi que ce soit. J'ai jamais commencé les abus.

Je me pose donc la question du pourquoi de ce mal de crâne, en marchant sous les nuages qui se dissipent pour laisser la place à des rayons de soleil bien frais comme il faut, avant de les cacher à nouveau. mais pas moyen de me sortir de mon apathie. Encore un peu et je sombre dans une amnésie comateuse. Et soudain, sur ma route, à droite, une cave. Oui, dans la rue, un trou noir, de ceux dont on se dit, en les voyant au cinéma, qu'on s'en éloignerai vite très vite. Mais là il n'a rien d'effrayant. je me dis que je vais être en retard avant de me rendre compte que de toute façon, je ne sais pas pourquoi je suis sortie, encore moins où je vais, alors bon, je les descend, ces escaliers obscurs. Et ils sont une définition bien plus convaincante que des mots de ce que je suis aujourd'hui. Il n'y a aucune odeur. Ce n'est ni beau ni laid. Il y a des choses, des traces qu'ont laissé des gens (Qui aurait pu venir ici ?), mais rien qui puisse mettre à l'aise. J'ai touché et oui, c'était bien là, dur, et j'ai eu un mouvement de recul. Comment tout ça pouvait ne pas être que de l'air, impalpable ? Alors je suis sortie, comme on sort d'un rêve. Mais ce n'en était pas un. Et la rue était toujours là, tellement normale, avec tous ces gens qui continuent à agir, à ressentir même peut-être, normalement, comme si c'était juste un dimanche après-midi ennuyeux.


Too Late - No Doubt

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26 février 2007

I just want to take you away from everyone...

chosen1315

Les après-midi, celles où les vacances d'été commençaient, ma télé dans la chambre de ma mère pour avoir les rayons de soleil et l'air frais pour dorer mes cheveux... et Buffy, et des cassettes vidéos louées par dizaine avec souvent, pour l'ambiance, un poster du film accroché au mur récupéré dans un magazine pendant la "séance".

Et c'est une chanson que je viens de découvrir qui a fait remonter tout ça à la surface... L'intro d'une chanson de No doubt... mais déjà, Zombies des Cranberries avait à peu près le même effet, en moins puissant. la pop des 90's... la batterie en arrière fond, Buffy qui sort du Bronze pour aller faire sa fête à un Vampire, on l'a bien reconnu, avec ses manches retroussées...

Et pourtant le temps est gris, c'est le début des vacances de février et je n'ai aucune envie de remonter à l'époque du collège. Mais je ne dirai pas non à un ou deux épisodes de la série qui restera à jamais la meilleure pour moi. Juste pour ça, être dans cette ambiance pop, avec des personnages mal dans leur peau, qui s'affirment, prennent des chemins biaises, connaissent des coups durs, écoutent Garbage et Cibbo Matto (qui ne font pas de claquette, faut pas pousser), sauvent le monde un paquet de fois... anéantissent la ville... tout ça sous le soleil Californien, dans une ville qui n'existe pas...


No doubt - Return of Saturn

19 février 2007

I'll be there anytime...

nuage

J'essaie parfois, de dire, d'expliquer ce que j'aime. Ça marche parfois avec des oeuvres. Un livre, un film... je posais des mots sur mes impressions, à les communiquer. Mais avec des personnes j'ai jamais su. C'était pas important, non plus. Mais là je meure d'envie de dire tout ce que je ressens, comme mon coeur se serre en relisant certaines choses, que ce soit parce-qu'elles sont anciennes, ou que juste, elles sont trop belles. Mais décrire ça, la beauté de quelque chose d'impalpable, qui vous a touché tant de fois qui est maintenant solidement ancré en vous.

Avoir la chance inouïe de partager quelque chose de tellement fort, et tellement beau... j'aimerai m'y fondre, complètement, de façon à être certaine que tout ça ne me quittera jamais, que ce sera toujours parfait. Avec ses mots, qui touchent en plein coeur et ses émotions si juste.

Et puis je n'ai pas peur, je ne me perdrai plus. Il y a des tas de choses à voir, autant à affronter, mais Elle est là, et je n'ai pas peur.

Je suis la fille la plus chanceuse de la terre...


Beth Gibbons, Mysteries

16 janvier 2007

A dessiner des cercles parfaits sur les vitres...

__gare___by_lo0Sh0ne

Je n'suis plus celle qui s'accrochait à vos lèvres
Je n'suis plus l'élève la plus impopulaire
Je n'suis plus celle qui vous fuyait du regard
Je n'fais plus vraiment le même genre de cauchemards

C'est plus pareil de quelle manière
Je crève de n'pas savoir comment
J'attends mon heure là ou ailleurs
Comme ceux dont j'ai oublié le nom

Je n'suis plus la fille qui préférait se taire
Je n'suis plus l'élève la plus impopulaire
J'achète des billets de trains pour voir la mer
Comme une parisienne à peu près ordinaire

C'est plus pareil de quelle manière
Je crève de n'pas savoir comment
J'attends mon heure là ou ailleurs
Comme ceux dont j'ai oublié le nom

Je n'suis plus dans l'ombre des arrières boutiques
A dessiner des cercles parfaits sur les vitres
A recompter mes doigts à l'infini
J'ai perdu le goût de ces choses là depuis

C'est plus pareil de quelle manière
Je crève de n'pas savoir comment
J'attends mon heure là ou ailleurs
Comme ceux dont j'ai oublié le nom...


Holden - C'est plus pareil

16 janvier 2007

But don't give away too much...

Ti_Amor_by_gunnmgally

Mon chat qui dort sur une pile de manteaux, juste à côté, les Dandy Warhols dont j'abreuve mes oreilles. Je ne poste plus parce-que j'ai oublié comment ça marche. Tut ce que je peux faire ne me convient pas. Ma période prolifique date du lycée, j'arrivais à remplir deux blogs parrallèllement. Un où je me complaisais souvent dans mon esprit d'adolescente rebelle, l'autre où j'écrivais surtout n'importe quoi, dans n'importe quelle couleur. Là je ne sais plus.

J'ai vu Indochine et j'ai adoré. Je connais les paroles presque par coeur, ils ont une bonne humeur communicative, vivement mars, que j'y retourne !

Demain je recommence un nouveau semestre. Un peu comme une nouvelle année. même classe de gens plus ou moins étrangers, mais matières et professeurs différents. Ça a l'air intéressant ! Et puis vendredi... (les trois petits points sont là pour traduire ce que je ne pourrai pas dire, je le sais, mais j'essaie toujours. ) le métro redeviendra un cheval moto, Mylène préfèrera les rues de Lille à celles de Londres, et ce sera juste magique.

Il y a presque un mois, j'ai vécu l'un des meilleurs concerts de ma petite vie... Muse ! Même la première partie était extra... même la musique d'avant Razorlight (la première partie, donc) nous faisait chanter (Non, je n'aurai pas la chance de voir Rage against the machine sur scène, mais j'me serai quand même remuée sur une de leurs chanson... dans une salle de concert.) Bon, bien sûr, Muse tiens à sa réputation... les jeux de lumière étaient bluffants, la foule était en délire, c'était pire qu'un sauna et devant, j'suis sûre que certains ont frôlé la mort suite à une compression de poulons prolongée. mais c'est Muse ! Bon, ils n'ont pas joué Endlessly. Ni In your World. Ni dead Star. mais je ne leur en veux pas. Knights of Cydonia. je l'attendais, même en sachant que c'est le final. je m'étais même reculée quelques titres avant pour récupérer la fonction respiration et donc, celle de sautillage, inhérente à la première. Et c'que c'était bon !

J'ai vu des films biens. The Fountain... les images sublimes, la musique, Hugh jackman qui m'a fichue les larmes aux yeux, même au cinéma... je sais pas si j'ai tout bien compris au film, j'étais un peu secouée à la fin. je le reverrai, et pas qu'une fois.

J'ai découvert get off des Dandy Warhols et Golden touch des razorlight, des chansons dont on a envie de crier les paroles en sautillant (surtout pour la première), me suis gavée de séries... Heroes, c'est vachement bien, en fait ! Prison Break, c'est pas moins bien que la première saison, mais ça lasse ! Veronica Mars, le dernier épisode était fort en émotion pour mes petits nerfs, Desperate Housewives... l'un des épisodes était très fort en tension pour mes petits nerfs, aussi... The L word, ça commence tout juste, j'ai pas tout bien compris sans sous titre, mais je m'attendais à plus fort, pour le retour ! Non non, je ne suis pas du tout accro aux séries ! Enfin, c'est pas nouveau !

Je poste aujourd'hui parce-que j'avais promis de le faire avant ma rentrée... qui a lieu demain. Oui, j'aime aller jusqu'au bout des limites, je sais. J'ai pourtant essayé mais comme dit plus haut, je n'y arrive pas/plus. J'ai été assez confuse pour aujourd'hui.


Razorlight - Golden touch

16 janvier 2007

Ouh Ah Ouh !

The_Dandy_Warhols_by_BohemianxLikexYou

Yeah like it or not
like a ball and a chain
all I wanna do is get off
I feel it for a minute babe
hot diggity dog
I love god all the same
but all I wanna do is get off
I feel it I feel it I feel it babe
baby, come on
if you have a hard time gettin there
maybe you're gone
if you find, you find yourself
against yourself
yeah maybe I fought
once thought I was sane
but all I wanna do is get off
and feel it for a minute
like the real thing baby, i guess
I already forgot
what I thought I would say
but all I wanna do is get off
I feel it I feel it I feel it babe
baby, come on
if you have a hard time gettin there
maybe you're gone
if you find, you find yourself
against yourself
hey, come on
if you have a hard time gettin there
maybe you're gone
if you find, you find yourself
against yourself
and like it or not
like a ball and a chain
all I wanna do is get off
and feel it for a minute like the real thing baby, oh yes
I already forgot
what I thought I would say
but all I wanna do is get off
I feel it I feel it I feel it babe
baby, come on
if you have a hard time gettin there
maybe you're gone
if you find, you find yourself
against yourself


The Dandy Warhols - Get Off

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